Parfois, il y a un avant et un après. Entre les deux : cette infime seconde, où tout bascule.
Notre histoire c’est celle de Léontine, 11 ans, qui est victime d’un grave accident de voiture. Elle ne peut plus marcher. Même avec du temps, de la rééducation et toute la volonté du monde, son corps restera irréparable. Que faire de cette nouvelle réalité – alors que sa relation aux autres, au monde et à elle-même est complètement bouleversée ? Où trouver les ressources pour construire une nouvelle histoire, entre celle qu’elle s’était imaginée et celle qui est – plus que jamais – à inventer ? Comment accepter un corps nouveau, et les regards qui ont changé ?
Avec son univers onirique, délicat et profond, Tous les phoques sont des sirènes sert d’écrin à une vision sensible de la non-validité, s’épanouissant en-dehors des sentiers battus, faisant l’éloge de la vulnérabilité et de l’imaginaire, comme inépuisables sources de vie.
Une histoire inspirée d’une amie de Melissa Leon Martin, comédienne et co-autrice du spectacle, dont la vie a basculé après un accident.
© Alexandre Drouet
Sur une idée de
Melissa Leon Martin
Conception et mise en scène
Damien De Dobbeleer
Jeu
Perrine Delers
Melissa Leon Martin
Stéphane Pirard
Écriture
Melissa Leon Martin
Damien De Dobbeleer
Thibaut Nève
Assistanat et collaboration dramaturgie
Stefanie Heinrichs
Scénographie
Stéphane Arcas
Renfort scénographie
Anna Terrien
Guillaume Maurel
Création sonore
Emil Stengele
Voix off
Joanne Martens
Elsa Martens
Création lumière
Benoit Vanderyse
Jonathan Kibani
Costumes
Sofia Dilinos
Direction technique et régie
Benoit Vanderyse
Avec l’aide du service théâtre de la Fédération Wallonie-Bruxelles, de la Loterie Nationale, de CAP48, du Théâtre Varia, de Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles, du Centre Culturel du Brabant wallon, du Centre Culturel de Verviers et du Tax Shelter du Gouvernement Fédéral Belge, Casa Kafka Pictures (empowered by Belfius)
Avec le soutien de Wolubilis, de La montagne magique, du Centre Culturel de Braine l’Alleud, du Centre Culturel de Verviers, du Centre Culturel de Perwez, du Théâtre Royal du Parc, du Centre Culturel de Chapelle-lez-Herlaimont, du Théâtre Mercelis, de Coline Struyf, de Romain Henry (video), d’Ahmed Ayed et particulièrement de Gaëlle Evrard et Simon Buissard.